Arrêté à Guelmin en septembre 2013 en même temps que 3 de ses fils (depuis relâchés au bout de quelques mois jusqu’à 2 ans de détention). Militant en faveur des droits du Peuple sahraoui à un référendum sur l’autodétermination. Témoin gênant du meurtre de 7 personnes par des militaires, les autorités marocaines doivent le faire taire lui et sa famille. A été transféré dans plusieurs prisons. Plusieurs grèves de la faim.
Libérable le 27 octobre 2018, mais seulement libéré 5 mois plus tard, le 28 mars 2019 pour des raisons non divulguées.