Dernières nouvelles de l’issue de la grève de la faim de Claude Mangin-Asfari : pas de réaction positive de la part des autorités marocaines alors que notre Ministère se dit toujours en négociations !
Pour l’aider ! Adressons-nous au Roi du Maroc !
N’hésitez pas à rejoindre les nombreux parrains-marraines des prisonniers sahraouis. Ils ont besoin de vous pour la correspondance et pour un soutien financier pour eux et pour leurs familles. Prenez l’engagement d’un versement mensuel de quelques euros… Tellement important pour leur quotidien et surtout pour leur défense.
Recommandations pour assurer le suivi de la grève de la faim de Claude Mangin-Asfari et reprendre la mobilisation dès septembre pour Claude et Naâma et tous les prisonniers politiques sahraouis.
Le contexte :
Claude Mangin-Asfari a suivi une grève de la faim pendant 30 jours en mairie d’Ivry, vers la fin de laquelle elle a reçu, ce 15 mai, l’assurance de la part du Ministre français des Affaires Étrangères que son entrée au Maroc serait possible sans doute dans le courant de juin (le Ministre répondait alors à une question orale du député Jean-Paul Lecoq, faite en son nom et en celui de plusieurs parlementaires engagés dans le soutien à Mme Mangin-Asfari). Aussi a-t-elle suspendu sa grève le 17 mai. À noter que cet engagement de nos autorités est la conséquence, bien sûr, de l’action de Claude et de la significative mobilisation qui l’a entourée. Un élément décisif a été un courrier de la Présidence de la République invitant le MAE à négocier avec les autorités marocaines : il correspondait sans ambiguïté aux demandes de notre amie et du comité de suivi de la grève. Lire plus
Une trentaine de personnes (responsables associatifs, élus, citoyens d’Ivry) se sont retrouvées ce 9 juin 2018, à la maison de l’écologie à Ivry, pour faire un premier bilan de la grève de la faim suspendue par Claude Mangin-Asfari le 17 mai, après 30 jours de jeûne.
Les présents réunis ce 9 juin s’en sont réjouis, observant ces premières avancées et l’engagement continu du Ministère français. Ils restent cependant très attentifs dans l’attente d’un accord officiel permettant à Claude d’entrer au Maroc et de visiter avant la fin du mois de juin son mari, Naâma Asfari et restent mobilisés.







