Depart de la Marche Solidaire - Mairie d'Ivry - Mai 2018

Le Maroc et son souverain Mohamed VI, au-dessus des règles et des décisions prises par le Haut Conseil des Droits de l’Homme, pour combien de temps encore ?

Pièces du dossier de dénonciation des représailles commis à l’encontre de Naâma Asfari par le Maroc instruit durant cet été 2018 par l’ACAT et l’ISHR – International Service Human Rights qui dispose de bureaux à Genève et à New York  auprès du CAT  du Haut Conseil aux Droits de l’Homme à Genève.

Naâma a été associé à toute la démarche par l’intermédiaire de Claude Mangin son épouse.

A noter : Le rapport de septembre du Secrétaire Général  de l’ONU y fait référence.

Cette dénonciation s’inscrit dans le cadre du suivi de la plainte déposée le 24 février 2014 contre le Maroc par l’ACAT et le Cabinet Ancile et de la condamnation du Maroc par le CAT le 16 novembre 2016. 

Le Maroc n’a pas tenu compte des 3 recommandations qui lui ont été notifiées dans cette condamnation comme le montrent ces documents.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.